Dans toute l’Europe, les véhicules à conduite autonome font leur apparition. Certains pays comme la Norvège et la France les ont déjà jugés légaux, tandis que d’autres, comme la Suède et le Royaume-Uni, sont en train de les réglementer. Voici quelques-unes des choses que vous devez savoir sur ces véhicules.
Plusieurs pays ont déjà adopté des lois qui fournissent un cadre juridique pour les véhicules à conduite autonome. L’Allemagne, par exemple, a adopté en juillet 2022 une loi qui autorise les voitures sans conducteur à circuler sur la voie publique. La législation a modifié la loi sur la circulation routière et prévoit le développement de fonctions de conduite autonome.
Pendant ce temps, le gouvernement britannique fixe une date limite de 2025 pour le déploiement de véhicules à conduite autonome sur les routes britanniques. Il espère être le premier à déployer la technologie de conduite autonome sur les routes britanniques et continuer à jouer un rôle de premier plan dans ce domaine.
Le Royaume-Uni n’a pas encore mis en place un cadre réglementaire européen commun pour les véhicules à conduite autonome. Il a mis en place le centre pour les véhicules connectés et autonomes (CCAV) afin de coordonner les politiques et d’impliquer les parties prenantes. Elle a également lancé une consultation sur le code de la route, qui vise à fournir des orientations sur les exigences techniques pour l’homologation nationale des véhicules autonomes.
Le projet d’acte d’exécution de l’UE sur le système de conduite automatisée a été soumis en novembre 2021 et vise à créer un cadre réglementaire européen harmonisé pour les véhicules automatisés de niveau 4 et 5. Le projet de réglementation vise à réduire les obstacles à l’homologation et à garantir des normes de sécurité uniformes dans les États membres de l’UE.
Dans le cadre de la stratégie de la CE intitulée « Sur la voie de la mobilité automatisée », un comité a été créé pour établir des lignes directrices sur le processus d’approbation des véhicules audiovisuels. Dans le même temps, l’Alliance européenne de l’automobile et des télécommunications encourage le développement de la conduite connectée.
La Commission économique des Nations unies pour l’Europe (CEE-ONU) a travaillé activement sur les VA. Elle a approuvé les systèmes automatisés de maintien dans la voie (ALKS) pour les camions et les bus.
Jusqu’à présent, les voitures sans conducteur n’étaient pas légales en Norvège. Cependant, le gouvernement norvégien a désormais soutenu le concept. La nouvelle législation, qui est entrée en vigueur le 1er janvier 2018, donnera aux entreprises impliquées (entreprise de livraison) dans le projet une base légale pour tester leurs véhicules autonomes sur les routes norvégiennes.
La nouvelle législation fait partie du plan du gouvernement visant à introduire la technologie de conduite autonome auprès du public norvégien d’ici 2025. Cela inclut l’introduction de normes pour les véhicules autonomes. Un financement sera également prévu pour soutenir la recherche sur la conduite automatisée.
Le gouvernement norvégien souhaite donner aux entreprises technologiques norvégiennes un avantage sur le marché. Il a également fait part de son ambition d’introduire progressivement les véhicules automatisés sur les routes norvégiennes. La nouvelle législation permettra aux entreprises de tester leurs véhicules sur les routes norvégiennes, mais seuls les systèmes technologiquement matures seront autorisés à être testés.
La nouvelle loi s’inscrit dans la stratégie plus large de la Norvège visant à diversifier son secteur pétrolier offshore. Elle vise également à garantir la sécurité des citoyens norvégiens. Si la loi n’interdit pas totalement les voitures sans conducteur, elle les limite à 12 km/h sur la voie publique. La loi exige également la présence d’un conducteur humain à bord à tout moment.
En outre, la législation limite le nombre de passagers à six. Il ne s’agit toutefois que d’une restriction temporaire. Le gouvernement prévoit d’introduire les véhicules autonomes progressivement et d’une manière qui soit conforme à la loi sur la circulation routière. La nouvelle législation devrait également donner aux entreprises participant au projet un avantage concurrentiel. La loi permettra aux entreprises de tester leurs véhicules autonomes sur les routes norvégiennes, mais seuls les systèmes technologiquement avancés seront autorisés à être testés.
Le gouvernement norvégien a également promis d’augmenter le financement de la recherche sur les technologies de conduite autonome. Dans ce cadre, l’administration nationale des routes publiques a accepté une demande de lancement d’un essai pilote de conduite autonome.
Dans la région nordique, plusieurs pays s’efforcent de réglementer les véhicules sans conducteur. En Suède, une loi a été adoptée pour autoriser les essais de véhicules automatisés. Elle permet aux entreprises d’effectuer plus facilement des tests. La loi crée également de meilleures conditions pour les essais.
Volvo se prépare à commencer à tester des voitures sans conducteur à Göteborg. L’entreprise affirme qu’elle utilisera 100 véhicules autonomes sur les routes publiques de la ville. L’entreprise commencera par les tester sur des routes dans des zones résidentielles et des files d’attente, puis passera à des conditions plus difficiles. Elle testera des véhicules sans conducteur sur 30 miles de routes à Göteborg. Il s’agira de routes et d’autoroutes couramment utilisées par les navetteurs.
Les personnes participant au programme recevront une formation spéciale. Ils devront garder une main sur le volant à tout moment. Ils seront également supervisés par un expert en sécurité. On ne sait pas encore combien de modèles seront utilisés à Göteborg, mais l’entreprise affirme qu’elle utilisera des véhicules capables de rouler jusqu’à 60 kilomètres par heure lorsqu’ils sont activés. L’agence suédoise des transports a également fixé des limites de vitesse strictes.
Le PDG de l’entreprise estime qu’il s’agit d’une avancée majeure. Il prévoit de commencer les essais cette année. DB Schenker est un client de l’entreprise, et les camions seront utilisés pour transporter des marchandises. L’entreprise prévoit également d’étendre ses activités à l’international. Elle a déjà reçu l’approbation de la Commission nationale de la sécurité routière aux États-Unis et est en pourparlers avec des détaillants, dont Lidl. L’entreprise est également en pourparlers avec GE Appliances, une filiale du fabricant d’appareils électroménagers Haier, pour l’utilisation des camions dans le Tennessee.
Plusieurs pays d’Europe adaptent leurs régimes réglementaires pour permettre la commercialisation de systèmes de conduite automatisée. La France est l’un des pays les plus avancés dans ce domaine. Le gouvernement français a mis en place un certain nombre de projets pour tester les voitures sans conducteur. Il s’agit notamment de projets pour les véhicules privés, les bus et les robotaxis.
Selon le gouvernement, les voitures sans conducteur seront l’avenir de l’industrie automobile en France. En outre, le gouvernement vise à déployer des véhicules hautement automatisés sur les routes publiques entre 2022 et 2024. Cependant, le nombre de voitures qui seront utilisées n’est pas encore connu.
Le premier véhicule automatisé en France est une navette EasyMile. Ce véhicule opère entre l’entrée principale et un parking situé à 600 mètres. Il partage un itinéraire avec des voitures, des bus et des vélos. Il compte 17 points d’arrêt. Il est équipé de caméras, d’une carte HD et de scanners laser. Elle dispose également d’un système de GPS différentiel. La navette EasyMile partage également un itinéraire avec les piétons et les vélos. Elle a déjà été testée dans de nombreuses villes du monde. La société a récemment annoncé son intention d’ouvrir une usine d’assemblage dans le Michigan.
En outre, le gouvernement français a débloqué 40 millions d’euros pour financer de nouveaux projets. Cela inclut un partenariat public-privé pour un laboratoire autonome à Rouen-Normandie. Ce laboratoire devrait fonctionner d’octobre 2021 à décembre 2023. Il comprend également un service de mobilité électrique à la demande. La France a également adapté son code de la route pour permettre l’exploitation de véhicules entièrement automatisés sur la voie publique. Cette mesure s’inscrit dans le cadre du plan « Nouvelle France industrielle » du gouvernement, qui vise à rendre 34 industries plus compétitives.
Bien qu’elles soient encore loin d’être disponibles pour le public, les voitures sans conducteur arrivent au Royaume-Uni. Les plans du gouvernement comprennent une nouvelle législation qui permettrait un déploiement sûr des véhicules autonomes d’ici 2025. Plusieurs entreprises, dont Jaguar Land Rover, Tesla et Uber, ont déjà commencé à développer des voitures autonomes. Mais la technologie n’en est encore qu’à ses débuts et il reste beaucoup de travail à faire avant de pouvoir l’introduire à grande échelle.
Si les voitures sans conducteur pourraient améliorer la sécurité routière, elles pourraient aussi provoquer des embouteillages. Outre la conduite, elles pourraient également être utilisées pour les livraisons et les transports publics. Ces véhicules seraient extrêmement lents et pourraient provoquer des embouteillages dans les zones urbaines. Si certains conducteurs hésitent à posséder une voiture sans conducteur, cette technologie pourrait être utile aux personnes âgées ou moins mobiles. Des réglementations adaptées permettraient de rendre les trajets plus sûrs.
Le ministère des transports (DfT) a déjà investi 117 millions de dollars dans les voitures sans conducteur. Une partie de cet argent sera utilisée pour la recherche sur la sécurité. Le reste sera consacré aux services commerciaux de conduite autonome. Selon le DfT, les voitures sans conducteur pourraient être utilisées sur les autoroutes l’année prochaine. Toutefois, les voitures ne seront approuvées que lorsqu’elles répondront aux normes de sécurité les plus strictes. L’entreprise devra alors se soumettre à un processus de test rigoureux pour s’assurer qu’elles sont sûres.
Le ministère des transports estime que les voitures sans conducteur pourraient contribuer à améliorer la connectivité rurale. Le ministère estime également que cette technologie pourrait sauver jusqu’à 47 000 vies au cours de la prochaine décennie. Le gouvernement travaillera avec les organisations de sécurité et les fabricants pour s’assurer que les bonnes réglementations sont en place. Il exigera également des propriétaires individuels qu’ils maintiennent leurs véhicules en état de rouler. En outre, les voitures seront en mesure d’informer les services d’urgence si elles ont été impliquées dans un accident.
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